Na Mira explore l’absence et l’incomplétude à travers Dust, une série qu’elle développe depuis 2022. L’artiste imagine les scènes manquantes de White Dust from Mongolia (1980), film inachevé de Theresa Hak Kyung Cha, en réalisant des films 16 mm expérimentaux. En plus des projections, des radios sensibles au mouvement agissent, dans l’installation, comme un médium temporel, tandis que des miroirs, inspirés de pratiques chamaniques, ouvrent des passages entre les mondes matériel et spirituel. En fragmentant le récit et la perception, Mira crée une expérience immersive qui interroge les limites de l’espace et du corps.

Texte en langage simplifié

Exposition produite en partenariat avec Dazibao.