Mémoire et onirisme se rencontrent dans l’exposition Twòn Kreyol. Par le collage et le montage, Raphaël Barontini mêle iconographie de l’histoire de l’art, photographies ethnographiques coloniales et objets sculpturaux, comme des masques et artefacts sacrés d’Afrique de l’Ouest, pour créer des portraits, des costumes et des fresques inspirés de parades carnavalesques et de rites de résistance. L’artiste s’intéresse à plusieurs figures emblématiques de la lutte contre l’esclavage, qu’il met en tension avec les mécanismes de leur effacement dans l’histoire officielle pour interroger les enjeux de pouvoir à l’œuvre dans la représentation.

Texte en langage simplifié

Exposition produite en partenariat avec la Galerie de l’UQAM.
La présentation de cette exposition est rendue possible grâce à l’appui de l’Institut français et du Consulat général de France à Québec.

L'établissement est certifié « Partiellement accessible » par Kéroul.